Affinité technologique - Anko a comme une forme de "symbiose" avec tout ce qui est électronique, ou programmé
How do I look like...
What I feel...
† PERSONNALITÉ † Opportuniste, profiteuse, Anko saute sur toutes les occasions intéressantes qui sont à sa portée. Elle est aussi, pourtant, très prudente : elle sait pertinemment que quelque chose qui semble être une bonne occasion de s'enrichir ou de gagner quelque chose (car avoir quelqu'un qui lui doit une faveur vaut autant que de l'argent à ses yeux) n'est pas toujours aussi bonne qu'elle en a l'air. Elle a donc un esprit très analytique, relativement froid, ce qui entraîne chez elle un humour noir assez douteux, voire parfois même très politiquement incorrect. Elle pense qu'on peut et doit rire de tout, ce qui n'est pas au goût de tout le monde, et elle a d'ailleurs tendance à ranger ce sens de l'humour quelques fois déplacé quand elle travaille.
† QUALITÉS † Très logique, pas foncièrement méchante, réactive, sens de l'humour très large, relativement ouverte d'esprit, diplomate
† DÉFAUTS † Parfois froide, rejette toute forme de sentiment, rejette toute forme d'autorité ou presque, opportuniste et manipulatrice, parfois sans aucune once de pitié
† GOÛTS † Anko est très épicurienne. Elle aime manger, boire (modérément, pourtant !), le sexe, la musique (notamment le classique et le metal), le cinéma, le théâtre, la lecture, la science, la technologie, et surtout apprendre des nouvelles choses en règle générale. C'est surtout ce dernier trait qui fait qu'elle aime beaucoup de choses.
† HOBBIES † L'escrime (notamment l'épée), glander sur internet et découvrir des nouveaux trucs qu'elle ne connaissait pas, accumuler des quantités absurdes d'informations sur divers champs de recherche scientifique (notamment la physique théorique)
† DON † Lorsqu'elle se concentre sur un objet technologique récent, qui contient des éléments électroniques, elle peut entrer comme en symbiose avec, interagir avec, comme s'il s'agissait de son bras ou de ses jambes, de ses yeux. Ce don particulier lui donne un mode de réflexion toutefois très "informatisé" parfois, et pour elle tout doit être aussi logique qu'un programme.
En dépit de ce petit défaut de personnalité, elle parvient, grâce à ce don, à calculer bien plus rapidement que la majorité des humains, et cela lui permet d'améliorer, optimiser, ou rendre plus efficaces la majorité des technologies modernes.
Cela peut aller d'une amélioration de la vitesse de son ordinateur au boost de sa connexion internet, en passant par l'amélioration au micromètre près d'un viseur électronique tête-haute de fusil de précision, et en terminant avec l'optimisation du système d'alimentation électrique d'armes à énergie dirigée expérimentales.
Where I used to be...
† FAMILLE † Son père est Arasaka Hiraku, businessman Japonais d'origine mais ayant fait fortune aux Etats-Unis grâce à une entreprise créée dans les années 1980, à l'époque où le Japon était vu comme un roi de la qualité dans le domaine des nouvelles technologies. Sa mère, Elenna Arasaka (née Benson) est américaine née à San Francisco, tombée amoureuse d'Hiraku suite à plusieurs rencontres dans un cadre professionnel. Les choses sont rapidement devenues plus intimes au fil des semaines, pour terminer, après un an et demi de relation, en un mariage pour le moins surprenant. Pas de frères, ni de soeurs.
† HISTOIRE † Anko est née en 1982, au son du clavecin. Ce son la suivra longtemps ; mais nous verrons cela plus loin. La naissance de la jeune nippo-américaine se fit en plein concert de clavecin, donc, une représentation de la Sonate K.517 de Scarlatti plus exactement, auquel s'étaient rendus ses parents. Elenna, sa mère donc, avait toujours été une grande adepte de musique classique et l'accouchement étant prévu pour une semaine plus tard, elle n'avait pas considéré d'aller à ce concert comme imprudent... Au contraire, "il paraît" que faire écouter de la musique au bébé avant sa naissance est bon pour lui alors pourquoi pas au fond ?
L'accouchement fut en tout cas un accouchement express : à peine les eaux perdues elle se retrouva dans un couloir, et avant même que les ambulanciers n'arrivent le travail était déjà à plus de la moitié.
Le reste de sa jeunesse fut moins riche en évènements étranges, toutefois. A la naissance d'Anko, son père (Hiraku) venait tout juste de fonder une compagnie portant son nom, fabricant sur le sol américain des composants électroniques de haut niveau. Il s'agissait de travail de grande précision et il souhaitait "importer" le savoir-faire Japonais aux Etats-Unis, pas spécialement pour partager la culture ou autres, mais parce qu'il savait qu'avec les méthodes Japonaises, il ferait mieux que les Américains, et que de fait, le marché serait à lui et lui seul.
Il n'avait pas tout à fait tort ni raison, mais c'est une autre affaire. Les choses fonctionnaient en tout cas relativement bien et cela permit à la jeune Anko d'aller dans une école privée et de recevoir une éducation certes efficace mais très stricte. Son père avait pour elle des exigences d'excellence qu'elle se devait de satisfaire à chaque instant, et qu'en général elle parvenait à satisfaire, notamment dans ce qui concernait les mathématiques et les sciences. C'était... Facile pour elle. Juste logique. Les réponses lui semblaient parfaitement évidentes, et les concepts simples à appréhender.
Il ne s'agissait pourtant que de l'expression de ce don pour le moins étrange qu'elle avait reçu. Elle en constata vraiment l'étendue en 1994, à 12 ans, quand elle mit la main sur une console de jeux (une Super NES). Une fois la cartouche de jeu placée et le jeu démarré, tout lui semblait... simple. C'était joli, comme jeu, mais le fait que Mario puisse devenir invincible n'importe quand, voler, passer à travers les murs, lui semblait rendre la tâche un peu trop simpliste...
Anko ne se rendit compte du fait que c'était parfaitement anormal en discutant avec les autres élèves de sa classe : aucun d'entre eux ne parvenait à faire ça, et tous pensaient qu'elle avait trouvé un mystérieux code de triche. En réalité, elle était comme... branchée à la console au même titre que la manette, et le personnage, elle le déplaçait comme elle déplacerait sa main pour attraper un objet, de la façon la plus simple du monde.
Cette particularité ne s'arrêtait pas qu'aux consoles de jeu. La jeune élève réalisa rapidement qu'il en était de même avec la télévision, en se concentrant un peu. Elle pouvait aisément changer les chaînes, ou améliorer la qualité de l'image juste en réfléchissant un peu. Le téléphone, aussi. Elle n'avait pas le réflexe de taper les numéros : elle décrochait, penser à appeler maman, et le téléphone composait. Tous les objets dotés de composants électroniques semblaient fonctionner comme un membre supplémentaire.
Cela la mena, comme on peut s'en douter, à un diplôme avec mention dans une des plus grandes écoles de technologie de l'état (Institut de Californie), mais surtout, cela marqua aussi l'entrée d'Arasaka (la compagnie) dans le monde de l'armée.
Elle vivait encore chez ses parents, et alors qu'elle discutait avec son père, elle aperçut les plans d'une sorte de satellite. Hiraku lui signala avec un sourire amusé qu'il s'agissait d'un projet un peu fantaisiste de satellite de repérage militaire, mais la petite sembla intéressée.
En l'espace de deux mois de travail intense, elle tendit à son géniteur un plan sur lequel la quasi-totalité des défauts du satellite avaient été gommés, corrigés, optimisés. Elle n'avait rien inventé en soit de surréaliste, et ce n'était pas de la science-fiction : son don ne lui permet pas de créer des technologies imaginaires surréalistes... Mais il lui permettait, en voyant un équipement électronique complexe, de le visualiser, d'en comprendre le fonctionnement, et d'en imaginer des améliorations avec une grande facilité.
L'ensemble marqua le passage de l'entreprise, maintenant familiale, du stade national au stade international.
† CONTEXTE ACTUEL † L'éducation donnée par son père était stricte, et surtout axés sur des thèmes relevant de l'opportunisme. Pour lui il ne fallait jamais laisser passer une occasion de gagner quelque chose, mais il fallait toujours faire les choses avec honneur. Cette valeur centrale était encore très présente dans son esprit.
Couplé au fait qu'elle soit une sorte de génie de la technologie, Hiraku décida de la placer à la tête de la section d'Arasaka qui serait basée au Japon, et dont les bureaux ouvriraient en 2004. Elle n'avait pas de rôle décisionnaire toutefois, cela appartenant non pas à une scientifique un peu délurée, même si habile en négociations, mais plutôt à un ensemble d'actionnaires influents en lesquels Hiraku avait toute confiance.
Non. Son rôle était d'être créative, et de vendre ses idées étranges au Japon. Car Arasaka, malgré le fait que l'entreprise soit dirigée par un Japonais, était vue comme une entreprise étrangère malgré tout, et de fait, elle avait bien du mal à s'imposer par rapport à d'autres déjà bien installés. Un groupe d'actionnaire Japonais était donc quelque chose à avoir à tout prix.
Les choses se passaient plutôt bien : la capacité étrange de la blonde à trouver des nouvelles idées, tout en sachant les vendre à des clients potentiels, étaient un atout fort.
Les choses prirent toutefois une autre allure pour Anko, lorsqu'elle découvrit l'existence de... quelque chose. Elle ne savait pas précisément de quoi il s'agissait, mais elle n'appréciait pas ce qu'elle voyait.
Et elle ne pouvait en parler à personne. Il s'agissait de bribes de dialogues qu'elle avait pu récupérer en passant non loin d'un bâtiment de Kronos. Son affinité avec les machines étant ce qu'elle était, elle put, de loin, capter, ressentir des morceaux d'e-mails, des petits bouts de conversations tenues au téléphone... Elle était trop loin pour tout comprendre, mais le contenu de ces conversations était inquiétante. Des histoires d'apocalypse, et ça n'avait pas l'air d'être la paranoïa imbécile des mayas qui avaient prévu la fin du monde en 2012.
Elle passa de plus en plus souvent devant ce même bâtiment, récupérant chaque fois des morceaux d'informations, recollant les fragments. Il y avait des morts, il y avait des luttes, rien de tout cela ne l'inspirant véritablement. Il devint rapidement évident que des... personnes ? Ou autre chose ? mettaient tout en oeuvre pour appliquer *LEUR* plan pour l'humanité. Mais ce plan n'était pas celui d'Anko...
Elle ne voulait pas sauver le monde, ni protéger l'humanité. Elle voulait que *SON* plan s'applique, un plan surréaliste visant à envoyer l'espèce humaine dans un autre système solaire en moins de 50 ans. C'était presque une obsession. Qu'il s'agisse d'anges, démons, monstres bizarres, ou juste d'illuminés cinglés avec trop de pouvoir, elle n'avait pas la moindre intention de leur laisser ne serait-ce qu'un chouïa de marge de manœuvre, quitte à devoir intervenir avec moins de diplomatie qu'à son habitude... Au fond, autant que tout ce matériel militaire serve non ?
Anges, démons, ou quoi que ce soit d'autre, ce ne sont pour elle que des vestiges désuets du passé : il n'y a aucunement besoin d'eux.
Whose character is it...
† PSEUDO† K.
† AGE † 25
† SEXE † Féminin
† Niveau de français † Euhh... ôo bizarre comme question, y'a une échelle officielle ? =P
† Fréquence de visite † 1 à 6+ par jour
† D'où connaissez-vous ce forum ? † Vegas Elevation ! Si je ne m'abuse c'était Lidrya (je sais pas qui c'est ici o_o) qui l'avait très fortement conseillé !
† Qu'en attendez-vous ? † PLEIN DE LE RP !
† Un commentaire ? † Ce matin, un lapin a tué un chasseur.
When it's the end...
† PERSONNAGE PREDEFINI † NON
† CODE D'ACTIVATION † OK par Sky
† STATUT ACTUEL † MEMBRE ACTIF